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L'arrivée du metaverse fait beaucoup parler ces derniers mois avec de plus en plus de personnes qui s'y intéressent. Car de nos jours, les terrains virtuels du metaverse sont considérés comme particulièrement rentables par de plus en plus d'investisseurs. 

De nombreux avantages sont permis grâce au développement du numérique et certains n'hésitent pas à y avoir recours, dans tous les secteurs et notamment dans le domaine de l'immobilier. 

Mais comment acheter un bien au sein du metaverse ? Et à quel prix ?
Nous sommes dans l'univers de la cryptomonnaie, de ses codes et de son vocabulaire, celui des NFTs.
Les ventes se font dans les "boutiques" (les marketplace) où l'on trouvera de tout, virtuellement, des biens à vendre et surtout des avatars, des visiteurs. 

Pour devenir propriétaire d’un terrain dans le metaverse, on peut débourser par exemple seulement 3 Ethereum, 7 626 €, pour une parcelle de 96 m par 96 m sur The Sandbox ou 5 000 Mana, 12 252 €, pour une parcelle de 16 m par 16 m sur Decentraland. Mais certains terrains peuvent coûter des millions d'euros en fonction de la fréquentation.
Les plateformes de métaverse sont nombreuses et certaines anciennes, Second Life dès 2003, ludiques avec Minecraft, commerciales avec The Sandbox, Decentraland et demain Facebook, etc

Mais quelles différences avec le monde réel ? Même si il est encore difficile aujourd'hui de bien mesurer l'impact et l'importance de ces nouvelles arrivées numériques et que les objectifs sont les mêmes que dans le monde réel, des éléments se distinguent.

Du côté des biens, il faut noter qu'à ce stade il s'agit surtout d'emplacements commerciaux permettant d'héberger des entrerpsies commerciales ou de services. Mais il n'y a pas de règles pour acheter, développer ces terrains et ces quartiers, ces centres commerciaux. Le risque de créer des espaces hétéroclites, mal assortis, est réel, sans parler de "l'anarchie" entre voisins. Les achats sont rapides et bons marchés.
Du côté des visiteurs, futurs acheteurs dans les dits commerces, la logique de la zone de chalandise n'est pas la même que dans le monde réel. Il ne faut pas oublier que les avatars restent virtuels et anonymes, d'un simple clic le visiteur change de "quartier", la notion de qualité d'emplacement par exemple n'a plus rien à voir avec le monde réel. 

Mais ce n'est que le début...

Pour en savoir bien plus, cf le très bon article de Blandine Narozniak sur Cryptoast 


Et vous que pensez vous de cette révolution annoncée ? Seriez-vous prêts à investir dans un monde virtuel ?
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